Petite fille tenant une corbeille de fleurs posant près de son chapeau, finement colrisé. Sixième de plaque dans son étui Union Case.
JE MAYALL (1813-1901) ouvrit son premier studio de daguerréotype à Philadelphie au début des années 1840. Il s'installa rapidement en Grande-Bretagne, où il participa à la création de l'American Daguerreotype Association à Londres. En 1851, il établit son propre studio dans la capitale britannique, photographiant la reine Victoria et les membres de la famille royale tout au long des années 1860. Il est aussi connu pour ses portraits de Karl Marx et de Dickens.
Le daguerréotype est le premier procédé photographique mis au point par Nicéphore Niépce puis Louis Daguerre et offert au monde entier (sauf au Royaume-uni) par la France en 1839. C’est à la fois un négatif et un positif d’où cet effet miroir caractéristique. On les appellera aussi poétiquement au XIXème siècle « les miroirs qui se souviennent ».
Daguerréotype J.E. MAYALL Enfant à la corbeille de fleurs Union Case
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Petite fille tenant une corbeille de fleurs posant près de son chapeau, finement colrisé. Sixième de plaque dans son étui Union Case.
JE MAYALL (1813-1901) ouvrit son premier studio de daguerréotype à Philadelphie au début des années 1840. Il s'installa rapidement en Grande-Bretagne, où il participa à la création de l'American Daguerreotype Association à Londres. En 1851, il établit son propre studio dans la capitale britannique, photographiant la reine Victoria et les membres de la famille royale tout au long des années 1860. Il est aussi connu pour ses portraits de Karl Marx et de Dickens.
Le daguerréotype est le premier procédé photographique mis au point par Nicéphore Niépce puis Louis Daguerre et offert au monde entier (sauf au Royaume-uni) par la France en 1839. C’est à la fois un négatif et un positif d’où cet effet miroir caractéristique. On les appellera aussi poétiquement au XIXème siècle « les miroirs qui se souviennent ».